Le big bang que la terre a vécu est inscrit en chacun de nous, dans nos cellules. En d’autres termes, il y a des connaissances enfouies en nous que notre cerveau n’a pas encore explorées. La thérapie bioanalytique ouvre des chemins vers ces profondeurs pour entrer en contact avec ce qui est vivant en nous. Elle vise à rendre conscient la conscience perméable à un autre réseau de connaissances que celui auquel nous donne accès notre activité rationnelle.

La bioanalyse suggère que nous possédons plusieurs mémoires : « Mémoire cérébrale », « mémoire corporelle », « mémoire phylogénétique » et « mémoire spirituelle ». La mémoire cérébrale enregistre les faits que nous avons vécus, tandis que la mémoire corporelle garde nos souffrances dans nos muscles, viscères et squelette. Il y aurait aussi une mémoire phylogénétique inscrite dans nos cellules qui contiendrait le souvenir des changements de la vie sur terre depuis sa création. Enfin, il existerait une mémoire spirituelle attestant l’énergie immatérielle présente en nous.

La bioanalyse tente d’ouvrir toutes ces mémoires que l’être possède en se concentrant sur le cadre de la thérapie plutôt que sur ses techniques. Elle utilise principalement la relaxation profonde et l’écoute inconditionnelle du thérapeute.

La phase première de cette thérapie consiste à apprendre à s’accepter soi-même inconditionnellement, puis dans une seconde phase, elle accompagne vers l’acceptation des souffrances pour grandir.

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